Selon ses forces et ses compétences, le profil d’un Growth Hacker est différent.
C’est ce que l’on appelle un profil « Tshape », avec des des connaissances génériques sur l’ensemble du spectre du Growth Hacking, et 2 ou 3 compétences particulièrement fortes (SEO, Content marketing, copywriting, PPC, scripting…).
Voici quelques exemples de profils « Tshape »
J’ai listé 9 étapes pour augmenter ses vues sur Youtube en appliquant les méthodes de Growth Hacking sur Youtube (le tunnel AARRR, les outils d’automatisation…).
Le nom de Growth Hacking (que l’on peut traduire par « Pirater sa Croissance ») nous vient directement de la Silicone Valley.
Ce concept, a été défini Sean Ellis (voir la définition du Growth Hacking).
Le Growth Hacking se divise en 2 éléments distincts mais complémentaires :
Le but du Growth Hacking est d’atteindre l’efficacité maximale, c’est-à-dire d’avoir un maximum de résultats avec un minimum d’efforts.
C’est ce que je que décrit dans mon livre « Le Growth Hacking » :
C’est donc un outil indispensable si l’on a peu de moyens, ou que l’on veut dépasser des concurrents établis sur le marché, même sur Youtube !
J’ai eu le plaisir de co-animer un atelier sur le Growth Hacking avec 1min30.
Voici ci dessous le replay de 2h30
A noter: vous pouvez essayer vous inscrire gratuitement sur ce lien pour accéder à toutes les formations vidéo d’1min30 TV pendant 7 jours.
Atelier Growth Hacking – 1min30 from frederic CANEVET on Vimeo.